Des jeunes gens issus de familles aisées, endoctrinés par un aîné, commettent une série de méfaits dans une petite ville de province hollandaise. L'inspecteur Van der Valk enquête, et tombe sur un groupe de garçons se faisant appeler les "Corbeaux".
"Fons Rademakers s'associe pour la cinquième fois avec Hugo Claus, qui va transformer le roman Because of the Cats (1963) du Britannique Nicolas Freeling en scénario de film.
Les " Corbeaux " et les " Chattes ", deux bandes de riches jeunes gens, traînent dans un quartier riche d'Amsterdam. Par ennui et surtout sous l'influence des considérations philosophiques déroutantes d'un personnage à la Charles Manson, ils commettent les crimes les plus odieux. L'inspecteur de police Van der Valk (un rôle initialement prévu pour Orson Welles) est sur leurs talons.
La presse a dénoncé le contexte social superficiel et a accusé Rademakers d'avoir tourné un film vulgaire et (...) de consommation, avec des scènes de sexe (...) et beaucoup de violence gratuite. Beaucoup l'ont qualifié de film réactionnaire, réalisé par quelqu'un de complètement étranger au monde qu'il évoque dans son film. Mais malgré l'accueil critique, cette production est devenue le film belge le plus vendu à ce jour, surtout à l'étranger grâce à la version anglaise. (...)
Avant même [qu'il n'entre] en production, le film a été discrédité. Le ministre de la Culture Frans Van Mechelen a décidé, contre l'avis de la Commission du Film et au mécontentement de la presse flamande, d'accorder six millions de francs belges à la production (dix-huit millions), qui [en faisait] le film néerlandophone le plus cher."
La presse a dénoncé le contexte social superficiel et a accusé Rademakers d'avoir tourné un film vulgaire et (...) de consommation, avec des scènes de sexe (...) et beaucoup de violence gratuite. Beaucoup l'ont qualifié de film réactionnaire, réalisé par quelqu'un de complètement étranger au monde qu'il évoque dans son film. Mais malgré l'accueil critique, cette production est devenue le film belge le plus vendu à ce jour, surtout à l'étranger grâce à la version anglaise. (...)
Avant même [qu'il n'entre] en production, le film a été discrédité. Le ministre de la Culture Frans Van Mechelen a décidé, contre l'avis de la Commission du Film et au mécontentement de la presse flamande, d'accorder six millions de francs belges à la production (dix-huit millions), qui [en faisait] le film néerlandophone le plus cher."
Le film en VO + STFR :
Grand merci et bonnes fêtes, Joyeux Noel.
RépondreSupprimerMerci et bonnes fetes
RépondreSupprimerSpéciales, les grosses productions néerlandaises!
RépondreSupprimerDaniel!
L'inconnu de nulle part
Ce film me dit quelque chose ... je le prends !! merci beaucoup !!
RépondreSupprimerMerci aussi.
RépondreSupprimermerci pour le film. Je n'arrive pas à lire les str qui sont placés bas (je ne distingue que leur sommet...), y'a t'il une parade ?
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerSi je ne me trompe pas...c'est le deuxième film néerlandophone que vous nous offrez !
On en veut plein d'autres !
Merci pour ce cadeau de fin d'année...
Bonnes fêtes cinephiliques .
Surprenant ! Merci pour cette curiosité.
RépondreSupprimerune découverte pour moi je vais testez le synopsis me plais bien en tout cas un grand merci pour le partage
RépondreSupprimerMerci pour la découverte et bonne année.
RépondreSupprimerMerci beaucoup, ce sera une réelle découverte pour moi
RépondreSupprimerSuperdiabolik