Noir et blanc
Durée : 80 mn environ
Musique : Gerald Fried
L'histoire : Petit gangster teigneux, George Kelly, que son amie
Florence Becker a surnommé ‘Machine Gun Kelly’, a réussi un audacieux
hold-up. Il confie le butin à Fandango, l’un de ses complices, mais il
se rend compte rapidement que ce dernier a tenté au passage d’en
escamoter une partie. De rage, Kelly le punit en lui faisant arracher un
bras par un puma... Peu après, la bande prépare un nouveau braquage qui
dégénère par la faute de la superstition maladive de George pour tout
ce qui touche à la mort (en l’occurrence ici la vue d’un cercueil). Par
sa violence et sa personnalité sans grande envergure, Kelly finit par se
faire haïr par ses acolytes qui le rendent responsable des derniers
coups foireux qu’il a organisés. Traité de lâche et de couard par son
amie et sa ‘belle-mère’, pour leur prouver qu’il n’en est rien, Kelly se
débarrasse de tous les ‘déserteurs’ de son équipe. Se rangeant des
cambriolages et pour se remettre à flot, ce qui reste de la bande
organise l'enlèvement de la fille d'un riche industriel.
